Recherche comportementale sur le cerveau SreeTestContent1
Disponible en ligne 22 Avril 2017
- Christian Montaga, b, ,
- Alexander Markowetzc,
- Konrad Blaszkiewiczc,
- Ionut Andonec,
- Bernd Lachmanna,
- Rayna Sariyskaa,
- Boris Trendafilovc,
- Mark Eibesc,
- Julia Kolbd,
- Martin Reuterd, e,
http://doi.org/10.1016/j.bbr.2017.04.035
Abstract
Une étude récente a impliqué le noyau accumbens du striatum ventral pour expliquer pourquoi les internautes passent du temps sur la plateforme de réseau social Facebook. Ici, une activité plus élevée du noyau accumbens était associée à une réputation sur les réseaux sociaux. Dans la présente étude, nous avons touché un domaine de recherche connexe. Nous avons enregistré l'utilisation réelle de Facebook par N = 62 participants sur leurs smartphones au cours de cinq semaines et corrélé les mesures récapitulatives de l'utilisation de Facebook avec le volume de matière grise du noyau accumbens. Il est apparu qu'en particulier, une fréquence quotidienne plus élevée de vérification de Facebook sur le smartphone était étroitement liée à des volumes de matière grise plus petits du noyau accumbens. La présente étude apporte un soutien supplémentaire aux aspects gratifiants de l'utilisation de Facebook. De plus, il montre la faisabilité d'inclure des variables de comportement réel dans la recherche neuroscientifique humaine.
Mots clés
- Le noyau accumbens de Facebook;
- dépendance au réseau social en ligne