Psychol Rep. 1991 Aug;69(1):239-40.
Abstract
Les vidéocassettes sont devenues le support dominant de la pornographie. Une précédente analyse de contenu a examiné la prévalence de la violence dans ces vidéos. La Commission du procureur général sur la pornographie (1986) a affirmé que la pornographie non violente dépeignant la dégradation produit un préjudice similaire à celui de la pornographie violente. L'analyse du contenu d'un échantillon aléatoire de 10% (n = 50) des vidéos affichées dans la section «adulte» d'une vidéothèque a montré que 13.6% des scènes des vidéos contenaient des actes de violence et 18.2% des actes dégradants.
PMID: 1961802