Jeu vidéo pathologique utilise chez les jeunes une étude longitudinale de deux ans (2011)

Commentaires: L’étude portait sur environ la moitié des élèves de 3rd et de 4th, et une moitié de femmes, mais 9% étaient considérés comme étant dépendants des jeux vidéo. Quel pourrait être le pourcentage si l'échantillon était composé uniquement d'hommes de grade 7th et 8th? On a également constaté que les enfants peuvent avoir cette dépendance sans commorbidités existantes


Pédiatrie. 2011 Feb; 127 (2): e319-29. Epub 2011 Jan 17.

DA Gentile, Choo H, Liau A, Sim T, Li D, Fung D, Khoo A.

Identifier

Département de psychologie, Collège des arts libéraux et des sciences, Université d’Iowa State, Ames, Iowa 50011-3180, États-Unis. [email protected]

Abstract

OBJECTIFS:

Nous avions pour objectif de mesurer la prévalence et la durée du problème du jeu vidéo pathologique ou de l'utilisation d'Internet, d'identifier les facteurs de risque et de protection, de déterminer si le jeu pathologique est un problème primaire ou secondaire et d'identifier les résultats pour les individus qui deviennent ou cessent d'être pathologiques. les joueurs.

METHODES:

Une étude de panel longitudinale d'une année sur 2 a été réalisée auprès d'une population scolarisée au niveau primaire et secondaire à Singapour, y compris des enfants 3034 des classes 3 (N = 743), 4 (N = 711), 7 (N = 916) et (N = 8). Plusieurs hypothèses de risque et de facteurs de protection pour développer ou surmonter le jeu pathologique ont été mesurés, notamment la quantité de jeu hebdomadaire, l'impulsivité, la compétence sociale, la dépression, la phobie sociale, l'anxiété et les performances scolaires.

RÉSULTATS:

La prévalence du jeu pathologique était similaire à celle des autres pays (9%). De plus grandes quantités de jeu, une compétence sociale moindre et une impulsivité accrue semblaient être des facteurs de risque pour devenir des joueurs pathologiques, alors que la dépression, l’anxiété, les phobies sociales et une baisse des résultats scolaires semblaient être le résultat du jeu pathologique.

CONCLUSION:

Cette étude ajoute des informations importantes à la discussion sur la question de savoir si la «dépendance» aux jeux vidéo est similaire à d'autres comportements addictifs, démontrant qu'elle peut durer des années et n'est pas uniquement un symptôme de troubles comorbides.